HEXAGONE

Il y a une première opinion qui définit un ordre théorique :

Selon les termes d’un hexagone régulier, qui par ses proportions égales qui établissent ainsi un état numérique équilibré. Où chaque portion est un ensemble homogène de chiffres. Et, bien que la série numérique soit harmonique. Elle ne répond pas aux besoins des sections, car ce cas de figure n’est donc pas exact.

Si elle est une réponse numérique précise, elle n’a pas les réelles proportions qui feraient évoluer les termes de cette première opinion.

En analysant les différentes sections, on oriente leurs positions.

Il y a comme origine deux types de nombres, les pairs et les impairs. Tous deux forment une harmonicité générale. La forme dynamique des nombres dessine un hexagone, parce que la classification des multiples s’organise autour des multiples de trois. Ce multiple, qui se trouve être en symétrie perpendiculaire en opposition des types pairs et impairs. Il a un axe opposé à celui qui organise les nombres premiers, qui sont toujours impairs.

L’harmonie donnée par les nombres premiers est importante, puisqu’elle a pour qualité d’être les premiers multiples adjacents. On pourrait considérer que l’axe des nombres premiers est majeur, en raison d’une certaine inharmonicité. Qui a pour effet, de créer des vagues, au milieu de la multitude des multiples secondaires.

Nous avons donc, une parité paire et une autre impaire.

Les nombres pairs forment un ensemble triphasé, dont une des phases est adjointe à un multiple ternaire.

Les nombres impairs forment également un ensemble triphasé, seulement les deux tiers purement impairs sont cadencé au rythme des premiers multiples. Ces deux phases impairs ne sont pas aussi régulières, que les deux phases paires. Une phase impaire est adjointe du multiple de trois.

La parité des nombres a ainsi une positive paire, qui est reliée à son opposé impair par les multiples de trois. Le sens opposé impair a un type majoritairement premier, qui est particulièrement arythmique au type pair.

Les sections numériques étant relativement hexatypiques, viennent par le phénomène harmonique se mêler entre-elles.

Et, leurs mouvements sont rythmés par les nombres premiers. Ainsi, à chaque occurrence d’un premier, la masse harmonique est déviée par le poids imposé à cet équilibre harmonique ou variant selon.

La géométrie dessinée par toutes ces phases numériques, traduit le plan de masse de la géolocalisation des nombres entiers.

Aussi, cette structure n’est pas immobile puisqu’elle s’anime au rythme des premiers.