La fonction chromatique est relative à la tonalité, elle se remarque grâce aux intervalles. Le sens du courant chromatique reprend l’orientation de l’altération, et suivant l’augmentation la note précédente est dièse.
C > D > #D
Inversement, la diminution altère d’un bémol la note suivante.
C > D > bE > E



L’amplitude chromatique enchaîne la tonalité de manière à décrire la diatonie chromatique qui lui est relative. Chaque parcours apporte sa touche diatonique, et la tonalité diatonique originale est sous l’influence altéractive. Avec la gamme majeure, on remarque que les notes EB sont sous l’influence du courant chromatique augmenté.

#C > #D > E


L’intervalle diatonique a la définition de la tonalité furtive, qui dans la modulation prend une forme altérée. En assemblant l’intervalle diatonique avec la tonalité diatonique, l’unité chromatique révèle 12 intervalles. Cet intervalle chromatique est animé par les courants chromatiques relatifs aux altérations. Ainsi, pour 12 emplacements, il y a 17 µ.


L’activité chromatique est harmoniquement inhibée, selon qu’une unité soit en même temps opposée et revienne à sa position initiale. Ces notes ne sont pas utilisées dans les diatonies chromatiques, et forment par conséquent une cohésion diatonique localisée. La force tonique de la note inhibée est précise, elle sous-entend un nœud isolé…

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