cabw cabmod armgam2a armgam3a armgam3b armgam3c armgam4a armgam5a armgam5b armgam5c armgam6a armgam6b

Balayage récapitulatif essentiel et bénéfique

L’exemple du groupe « GA » démontre une union,d’un ensemble formé par la racine, le tronc,
 et la branche. Un peu comme un arbre, qui a été débouté de sa ramification la plus étendue. En suivant la logique de l’assimilation inversée, celle qui  ferait de ses notes des liens. D’où se seraient développées les relatives physiques, comme si l’évolution logique de la matière suivrait le cours de quelques points harmoniques. Que ces points impliqueraient d’être lourds en états combinés, en invoquant une propriété attractive relative au poids des éléments plus ou moins pesants. Tout ça se calcule, car tout est mesurablement mesuré !

Les gammes associées à une seule tonalité signée

La signature naturelle, la clé de la résonance tonique

Réunion arbitraire pour une naturelle chromatique

Les différentes définitions réunies en synoptique

La gamme a son chromatisme…

L’armature chromatique…

La résonance classifiée…

Combien d’esprits aimeraient rêver à ce délicat sujet ?

Introduction : Il nous faut croire, que ce paysage est compliqué. Avec une bonne analyse, on peut interpréter la solution comme un effet relatif à un état physique. Autant dire que l’état secondaire est créé par l’état primaire, selon que la première source ait une harmonie créative. Sauf, que lorsqu’on ignore les faits, on ne sait pas qu’il y a une relation. Qu’on puisse croire, que ces états n’aient aucun lien de parenté. On pourrait aussi rester sur une définition évasive ou sans intérêt, et même propager son manque de bénéfice. Mais ce serait une peine perdue d’avance !

Si aucun d’entre-nous ne connaît la gamme simple, c’est parce qu’elle fait partie d’un système de gammes. Tant, que sa définition, son côté multiple soit voué à la personne…

Moi-même étant une personne qui a donné à la gamme une vocation. Qui a su créer une formulation harmonique, avec sa logique et son élémentaire esprit naturel. Comment aurait-on pu imaginer un instant, la gamme sans aucune image représentative. Le dessin est un art technique, dont la quantité des signes logiques suffit à définir de nombreuses définitions. Je ne suis pas un mathématicien diplômé, mais j’assure complètement le sens mathématique « basique » du complexe gammique. L’avantage musical est d’être harmonique, que sa personnalité démontre un état physique actif !

Comment aurions-nous pus comprendre le mouvement en ne faisant aucune modulation, puis le mouvement diatonique est-il fondamentalement élémentaire. À l’unité active…

La gamme est dans un répertoire qualitatif, et que ce dernier est dans un espace quantitatif. En sachant que chaque gamme produit un mouvement tonal, tel que la tonalité diatonique est considérée comme réelle. Si bien que la réponse chromatique puise ses ressources dans les modulations diatoniques, et que sa définition ne fasse que de reproduire l’empreinte diatonique la plus proche. Ce qui résoudrait la définition enharmonique, en raison du modèle diatonique réel. Nous aiderait à sortir de ce flou paysage, par des belles photos intelligentes !

La gamme chromatique

Tout le long du sujet, nous avons pus voir les gammes fondamentales et leurs chromatismes. Qu’à chaque cas, le modèle chromatique était différent. Et que la valeur des composantes chromatiques pouvait dépendre d’un fond diffus diatonique, ou que l’ensemble gammique ait diffusé une solution chromatique dans l’espace diatonique. La tonalité chromatique n’a pas vraiment besoin d’être qualitative, puisqu’elle dépend d’un milieu quantitatif. Autrement, en qualité chromatique il faudrait utiliser les bons arguments, pour une meilleure définition. Heureusement, la définition en cours est suffisamment objective.

L’armature chromatique

Si le modèle gammique a une signature chromatique, ou si elle a une armature chromatique. L’armature chromatique est une définition gammique, celle qui est laissée par la modulation diatonique. Et si quantitativement on obtient les emplacements, qualitativement on ne sait pas encore le définir. Par contre, donner une valeur qualitatif à un état quantitatif c’est possible en classant les degrés. La tonalité diatonique est connue, et sa trace chromatique l’est moins lorsque l’on pense à la diffusion précédente.

La classe de résonance

Le classement chromatique selon les degrés, puisqu’il s’agit d’un groupe diatonique, donne différentes tonalités. Aussi, la tonicité des notes sera plus importante au niveau du « noyau ». Ce point de départ des degrés, une attraction relative à une position majeure dans la  chronologie des degrés. Nous avons alors plusieurs points d’attractions impliqués, qui créent entre eux un autre effet attractif d’un unième niveau. Une sorte de matière mettant en jeu une surface relative, pouvant attirer les ondes en produisant de la résonance.

Groupe nœud Terme racine Classe degré Extension

La mesurabilité des fonctions

À un groupe correspond un ensemble compact et des éléments en extension.
Le nœud bien que petit, est lourd en tonicité. Il représente un résultat de la classe des degrés, de son terme-racine, et de son effective extension. La valeur du groupe n’est pas une solution en soi, mais il s’agit d’appliquer au résultat de cet ensemble réuni > un facteur de tonicité.
Groupe = (Nœud () Degré () Racine () Extension ()) Noeud
Les affinités définies par le groupe sont indéfinies, tellement il y a de choix logiques. Pour déterminer une solution viable, chaque élément représente une constante pouvant varier dans sa définition. La génération algébrique au sein du groupe serait déjà donnée par l’altération, malheureusement la solution mathématique n’est pas en cours de développement.

Quand le moment venu, je ferais mon « jeune » matheux !

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Les prémices d’un détail solaire en diffusion

Composition de l’ombre interne des flux

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