Les prémices d’un détail solaire en diffusion
Avant de poursuivre la solution mathématique, il faut voir tous les éléments. Sans quoi, le problème est faussement avancé. |
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Bien qu’ils ne se ressemblent pas, les groupes ont des similitudes au développement. L’image du groupement diatonique est caractéristique, et sa masse de résonance est polarisée par le nœud tonique. Hors, nous avons les diatoniques aux résonances extraordinaires….
Les résonances ordinaires représentent des nœuds toniques, ou que ces sujets ne soient pas soumis à une quelconque influence chromatique. Contrairement aux cas toniques, lorsque les notes diatoniques sont toutes sous les influences chromatiques. Alors, les éléments diatoniques qui sont influencés par les deux flux, vont donner des résonances extraordinaires. Qui vont à la dérive des courants chromatiques, l’influence des deux courants chromatiques ajoutent à la note (quelque soit sa valeur hors influence) un comportement égal à l’harmonie de chaque courant.
Cette gamme fondamentale, DO tonale adominante, a une unique unité tonique extraordinaire. C’est à dire, que son élément tonique est sujet aux deux flux chromatiques. Mais aussi, qu’il est unique, ce qui lui donne son sens majeur.
Le chromatisme augmenté passe par la mélodique en amont d’une adominante sensible.
Ayant un contexte chromatique tonal en médiation harmonique.
Alors que le chromatisme diminué est tonale en médiation harmonique.
Qui dans son contexte chromatique est mélodique de dominante sensible.
Le « -25+ » équilibré au point médian harmonique / mélodique adominante.
Sa tonalité diatonique procède à un compactage harmonique à l’axe mélodique médiante.
Les éléments se regroupent, pour former un ensemble qui va symboliser le sujet diatonique. Ils sont extraordinaires à cause des cas ordinaires, ceux qui ont précédemment formés les groupes dont les nœuds sont sujets à aucun courant chromatique. On peut dire, que le courant suit un cours évolué au large du flux diatonique. Qu’il dessine une surface réelle dont les profondeurs soient liées à la tonalité diatonique, dont les hauteurs sont des vagues liées entre les hauteurs.
Harmoniquement parlant, le décors envisagé par les groupes est assez large. Les rassemblements diatoniques produisent des résonances multiples, comme une nappe a la texture structurée.
Tonique : La note DO |
Mélodique : La note MI |
Dominante |
Après avoir prélevé les diatoniques extraordinaires de la « plage des gammes », on voit l’évolution à la « berge des gammes ». La série diatonique comporte des similitudes, au niveau des éléments ayant le double flux chromatique. On peut également réunir les diatoniques similaires. En commençant le classement par l’élément tonique de la gamme, qui est la note DO. Ainsi, la série diatonique ayant un DO commun est réunie. |
Cette première série démontre des qualités des modèles, de part les formes exposées. En continuant par la note tonale, celle qui présente le premier suivant. La note RÉ est en couplage mélodique mineure, de cette raison elle n’entre pas dans la catégorie de l’unique unité commune. La note MI est une unité commune, elle est un cas isolé. Elle a une tonalité de résonance décrite dans sa formulation. |
La note DO. Série tonale La note RÉ. Couplage La note MI. Série médiane La note #SOL. Série unité Contrairement aux notes (C, E), la note #SOL ne comporte qu’une gamme. Cette série est le point d’orgue relatif à l’ harmonicité gammique. La formule de la tonalité diatonique est « -34x », ou du couple mélodique et médiante étendue. Si la partie mélodique n’altère pas la note voisine, la médiante elle est activée par une double altération |
C’est à la mémoire des premiers groupes ordinaires, À toutes les diatonies du modèle gammique, La masse gammique n’est pas uniforme, elle développe plusieurs niveaux d’amplitude. Dont, plus particulièrement la partie majeure de l’ harmonicité générale. Est la gamme originale, qui a pour qualité unique d’être naturelle. Un autre niveau particulier pour les groupes constitués à partir des notes communes, sous l’influence de double flux chromatique…. Après le premier niveau de l’origine naturelle du système gammique, un autre niveau est inclus parmi les gammes. Puis, chaque niveau comporte une diatonie qui n’est pas liée aux autres regroupements. NIVEAU 1 / GAMME Majeure |