gampro1a Définitions sommaires des gammes Définitions exemplaires des gammes Bulletin en cours gampro5a gampro5b cabw cabmod modgam

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Lorsqu’on s’intéresse à la technicité naturelle de la musique, on accède aux tonalités. L’évidence instrumentale prouve qu’elle a un format prédéfini, et que ses valeurs harmoniques soient une activité aux effets sonores.

Aussi, la musique est l’art d’harmoniser les notes musicales ou les gammes.

Pour comprendre la gamme naturelle dans son expression altérative, il faut connaître le mécanisme de l’objet diatonique dans son milieu chromatique.

Et ainsi répondre en des termes conditionnés dans une syntaxe définie par la méthode développée, ici la programmation python !

Vous ne l’avez pas, il suffit de télécharger python (x 3.) Lien suivant :

Python.org


Le développement de la gamme naturelle maintien une logique principale, il assure l’aspect chronologique de l’évolution des probabilités offertes par l’altération de la note. Le but est de mécaniser cette évolution gammique.

Mais avant d’aller plus loin, je veux que vous sachiez qu’il y a une application dédiée au calcul des gammes diatoniques.

   Première version  : ProgamV1alpha.pydf élément moteur

Chercher à calculer l’harmonie des gammes musicales, c’est mettre en valeur la musique naturelle. Diatoniquement simplifiée, elle met en œuvre une combinaison finie de portabilités. La définition de la gamme musicale est donnée avec 66 modulations diatoniques majeures de septième, elles sont toutes développées ici. ..

   Troisième version  : ProgamV3epyco.txt

 L’élément moteur de cette évolution, nous entraîne dans une logique complexe basée sur les gammes. Non sans s’oublier, elles vont former une grande structure gammique. Des fonctionnalités visant à démontrer les diverses composantes entretenues dans les gammes, telles les accords, les chromatismes, les tablatures…

   Quatrième version  : ProgamV4encore.txt

Cette version est finalisée, s’amuser à marquer des points dans ce panier à volume égal. Les marrantes gammes sont relatives, et ce phénomène apparaît clairement grâce aux tétracordes, c’est à dire : Système tétracordique.

   Cinquième version    : ProgamV5encore.txt

Cette version est en cours de récréation, les premiers pas du micro-intervalle. À moyen terme son avancée a un fil conducteur, en exprimant la qualité de la gamme en cours. L’expression chromatique devient notre première empreinte tonale, au sujet de la chronologie d’un chromatisme diatonique. Toute une démarche vers un univers commatique.

Une erreur d’appréciation chromatique a été détectée, et corrigée avec la version « 6 » http://www.developpez.net/forums/d1584897/applications/projets/systeme-gammes-musicales/

   Version en cours  : ProgamV6encore.txt

Cette version est chromatiquement finalisée, les gammes commatiques sont désormais sûres de commencer leurs élans avec une base au calcul sans erreur d’approche. Cette maîtrise de la lignée chromatique offre des possibilités, et autant de liens chromatiques pouvant mécaniser différentes jonctions.

   Version exécutable : Page du site …/gampro1a

En choisissant le téléchargement de « progamv6encore.zip ». Cet empaquetage est destiné à être décompressé. Le dossier contient tous les éléments utiles à l’application. Qui est « progamv6encore.exe »…

Comment fait-on sans ce calculateur ?

 - solution diatonique - tonicité modale -

Le modèle principal de toute cette mise en scène, c’est la gamme naturelle chromatisée qui est une référence majeure. La gamme chromatique exprime toute l’expression des notes ordonnées, elle a les notes naturelles et puis deux autres portées diatoniques. Il y a avec la gamme chromatique, tout ce dont on a besoin pour continuer…

Le mode tonique majeur peut s’adapter à toutes les tonalités, sauf qu’en premier lieu il est naturellement naturel. Le modèle modal est exclusivement composé de valeurs d’intervalles, où les notes se quantifient. Une partie pour la résolution des notes physiques, de l’autre côté leurs définitions qualitatives.

Exemple de mécanisme diatonique :

Le deuxième degré modal, n’a pas la tonalité modale du premier degré tonique. Ce, tout en ayant les mêmes notes, le deuxième modèle modal personnalise une modulation. Ce qui comprend, que la forme des tonalités modales est une expression ponctuelle. Le fait d’isoler cette forme ne fait, qu’intensifier sa personnalité tonale. Toutes les tonalités ont un nom significatif, certes une note ne s’appellera pas « pierre » ni « choux ». Mais plutôt d’avantage mélodique, voire harmonique ou bien dominante et pour le cas, tonale …

L’harmonie de la gamme naturelle est une composition diatonique modale.

La tonalité mélodique sensible (b 3, b 7) est propre au second mode majeur. Il n’y a pas besoin de lister la série modale de la gamme naturelle, pour comprendre qu’elle généralise une chronique modale.

Avant de poser les premières pierres numériques, il est bon de connaître le fonctionnement des gammes dans une commune théorie. Il est naturellement facile de commencer par ces notes : CDEFGAB. C’est un modèle commun fort et réaliste ,,,,    la motorisation diatonique

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