Le processus commatique : La gamme de DO majeur référence, à tonalité chromatique ajoutée. En se référant aux tonalités des notes naturellement, non signées. Chaque modulation précise une tonalité diatonique, là où les notes non signées, n'ont pas les mêmes signatures tonales.
La gamme de DO développe une tonalité diatonique majeure
À laquelle, des notes signées viennent argumenter les intervalles (entre valeurs). En terme littéral l'approche de la tonalité n'irait pas sans une autre expression, telle de type numérique comme solution. Afin de clarifier la note, chrome aussi, qui a 2 états. La tonalité de la note lorsqu'elle est isolée, équivaut à la valeur 1. C'est harmoniquement que la tonalité se précise.
La gamme chromatique est harmonique, et son rôle est majeur pour son enveloppement. Chrome positif (n° (+/-)) Classiquement, le développement diatonique de la modulation chromatique modale n'est pas réellement nécessaire. Puisqu'étant incluse dans l'unique logique des mêmes notes diatoniques, identifiables à la première tonalité modale. L'appoint de la septième modulation apporte son lot d'indications. Si une des valeurs numériques de la septième modulation diatonique, est égale à une des valeurs du modèle de modulation de la tonique. Lignées des pôles chromes positives / négatives Et que, chronologiquement placées, les valeurs égales coïncident. Alors, la polarité chromatique a un cycle fermé à l'image du pont baissé. Et autrement, s'il n'y a pas de coïncidence égale à valeur voisine. Voire, le pont levé à cycle limité aux jonctions (7/1), créant une polarité harmonique étant un résultat différentiel. Sérielle des valeurs nos Formes reconstituées De C à B espace d'octave Chromes inclus repérage chromatique En cycle fermé pôle inférieur haut (b) En inversant les formules modales reconstituées, et produire une matrice à valeur numérique. Les formes n'ont pas changées, elles n'ont pas encore de tonalité et il en faut une pour chaque ligne. Pour garantir une mise en tonalité de l'organisation des valeurs numériques, à chaque début de formule rangée sur la première colonne. Viennent s'écrire de haut en bas la suite diatonique de la gamme chromatique majeure de DO (c), informant la tonalité modale d'une tonalité tonique. Au départ, les notes nous délivrent leurs tonalités sous la forme de formules. Pour qu'ensuite, les formules puissent nous formuler leurs tonalités. Un jeu de valeur de note et de note tonale, qui par simple inversion fait sa révolution. Le petit pas qui n'est pas une petite évolution ! _ |
La liberté informatique de gam com…
Bienvenue à l’expression comma.
À l’époque, la gamme commatique entretenait déjà des rapports avec la gamme naturelle de Do majeur.
La gamme chromatique majeure © comporte des éléments enharmoniques créés par la superposition des notes signées (#Do/b Ré).
L’enharmonie dans un espace chromatique est justement mesuré, puisque confiné à 12 emplacements. L’argument chromatique en fait ne contient que 5 éléments chromes, il ferme l’intervalle spacieux aux 7 notes diatoniques de la gamme.
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À ses signatures significatives
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Le tableau rassemble six éléments commas parmi la douzaine des formes inversées :
Du moment aux données numériques, un peu abstraites sans les notes. Mais d’origine majeure.
Le moyen du développement appliqué, a consisté à établir le chromatisme majeur sur la première portée verticale et la série des toniques modales.
À partir de cette originalité tonale, la gamme chromatique se commatise. La ligne horizontale a une tonique comme première tonalité, puis une double série de formes numériques. Une fois que toutes les lignes horizontales comportent les tonalités, on voit qu’elles ne sont pas diatoniques entre-elles. Si bien, que chaque ligne précise une gamme unique
C’est exactement ce que représente le tableau
Cette expression a des liens avec « les gammes de l’union » éléments clefs majeurs (1, 6, 8).
Dans le contexte général, chaque tonalité comporte des événements remarquables. Un autre type d’enseignement en surproduction chromatique, et en convergence diatonique. (Tout vient de l’inversion.). Généralement, le premier résultat consiste à lire chaque ligne modale horizontalement. Ainsi, qu’en chaque première tonalité tonique modale rangée en colonne verticale de haut en bas. On comprend, que le sens de lecture est à la hauteur de toutes les ambitions. Pour l’instant, le cours en est à la définition tonale des tonalités (…). On est en phase car, cet ensemble diatonique est d’enseignement horizontal.
Dans son interprétation verticale, chaque colonne comporte une nouvelle diatonie chromatique. Le pas commatique approche (…)