La réalité des voies commatiques, est due à l’inversion de la séquence des tonalités. Ceci produit un déphasé diatonique, contrairement à ce qui transparaît lorsque la modulation transpose. Cet épisode conduit un type de modulation, bien plus enharmonique qu’inadapté, qui ne répond pas aux mêmes règles vues jusqu’alors :

Tous les développements vus jusqu’ici, certifiaient la présence de l’ensemble diatonique des 7 notes naturelles signalisées.

Ainsi, que de leurs formulations chromatiques donnant un sens aux intervalles.

Maintenant nous avons plusieurs échappatoires, puis il faut encore en découvrir leurs sens. Nous savons déjà interpréter les notes musicales à travers les gammes exposées, et avons bien compris le maniement des signatures pour un ajustement technique avec les valeurs des tonalités.

Comment aller plus loin sans ce savoir d’interprétation ?

Il est plus facile de signer chaque note, que de la comprendre. L’écriture est plus simple que la lecture pour les nouvelles choses, ce que nous montre la gamme commatique est la définition de ses clefs*

Des signes distinctifs de la tonalité diatonique des commas, autant qu’en harmonisant l’unité enharmonique. Ainsi que des phénoménales disparitions tonales, aux valeurs ajoutées des gammes jumelées. C’est donc en ce début des révélations sur le commatisme, qu’il faut assurer une bonne traçabilité à cause du nombre de cas. Et pour ce fait, tout doit être clair. Les pages de la série gam pro à Facture éduquée

À savoir, qu’au premier niveau commatique de chaque gamme(∞). On décèle d’autres gammes(∞), faisant des enseignements relationnels.


À suivre, ici-même…

Le sujet à besoin de savoir où il va, puis tout ce qui a été dit nous conduit à penser, que le chromatisme majeur produit une quantité de 12 gammes. Ces gammes ne sont pas diatoniques entre-elles, et chacune produit également 12 gammes. Et ainsi de suite. Comment comprendre cette situation de prolifération gammique sans effectuer cet immense développement, tout en sachant que chaque heptatonique donne son propre chromatisme…


Sur ce « terrain » où le déploiement s’effectue en plusieurs étapes

Procédé de l’initialisation des données

  1. Premier état diatonique chromatisé

État des notes réelles et des valeurs ajoutées

  1. Initialiser l’ordre initial

Liste des valeurs modales, sans les notes réelles

  1. Inverser l’ordre des initialisations

Sans les notes réelles, uniquement les valeurs

  1. Mise à la tonalité des initialisations

Écriture verticale au degré tonique du premier état
Écriture horizontale des notes initialisées par la tonique

  1. Configuration du pas commun

Il est sûr que tout ceci, ne peut être dit sans que toutes ces premières écritures aient étés réalisées. La lecture horizontale des tonalités modales met en relation les gammes transversales, qui correspondent à un type de transposition. Tout comme l’expérience de mettre la note Do à toutes les toniques modales, pour avoir un apport initiatique.

Si la forme horizontale conduit à un milieu connu, la verticale ouvre une voie de tonalité inconnue.



L'évidence des complexes formés par les gammes :

Le travail réalisé jusqu'alors a suivi le cours de l'unicité gammique, soit l'élément sélectionné. En sélectionnant la totalité des éléments, ou en harmonisant tous les éléments. À ce temps, des gammes fondamentales mêlées, aux points des liens inter-gammiques majeurs.

Les différences entre les gammes une fois rassemblées égalise un complexe