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Introduction sur l’effet de l’altéractivité, à l’aide d’un schéma en DO super-altéré...

DÉVELOPPEMENT : Les degrés modaux ne sont pas tous égaux, face à l’altéraction...

La différence altéractive des degrés

Découverte de l’altéraction modale, par l’exemple & l’album ( 600 secondes sur 56K )...

L’altération est évolutive

magsign1a

D

E

F

G

A

B

C

D

^D = ###D

+^D = ####D

D = D

^D

xE

xF

+G

A

B

C

C

+^D

^E

^F

xG

+A

B

C

La signature altéractive n’est pas une erreur, elle réalise par dessus tout...

Elle démontre, jusqu’à quel point ne doit pas excéder la signature. Ci-dessus, la position de son septième degré (Do), avec la tonique (###Ré). Ne dépasse pas le stade où aucune des notes ici, ne soit naturelle ou absolument non signée. Et, quand la seconde est relevée par quatre dièses. L’effet altéractif n’a pas atteint le moment où la septième s’est trouvée signée. Alors quoi, et comme la prochaine élévation de la seconde (x^D) conduit à l’altération de la septième (C), jusqu’alors majeure diatonique. Le qualificatif « majeur » ici, se réfère à la logique d’une série de substitutions d’intervalles ayant parfois une tonique nulle. Et non pas, à la qualification modale, où la tonalité ayant une tonique diatonique.

L’altération donne du fil à détordre...

Par principe, le cumul des signes égaux rentre aussi dans le cadre des modulations diatoniques. Bien qu’ici, Les modulations rencontrées, ressortent du contexte fondamental gammique par son aspect mécanique différent. Ne serait-ce, qu’avec le classement obtenu, via l’évolution altéractive.

modmag