Relevé du principe des armatures. Page 1





b









b b













b b b

















b b b b





















b b b b b

























b b b b b b





























b b b b b b b





























I Premier degré « bB »

À la différence des autres degrés diagammiques de l’armature,,, .
À ce niveau l’armature développe uniquement des gammes majeures. Ce côté « majeur » a aidé cette armature à une utilisation fréquente, créant ainsi un standard incontournable.

Car, au delà des gammes majeures. Il y a les abysses, sans lesquelles la surface ne serait plus la même !

II Deuxième degré « bE »

Les degrés de l’armature,,, .
Le taux de gammes majeures développées, est relativement majeur. Puis, l’indice enharmonique est simple,
par la note bC.
Et, le rattrapage majeur,
bien qu’à faible taux,
n’est pas instantané.

On voit clairement, l’altéraction donnée par la note « bC » !

En effet, elle est venue recouvrir la note B (Si) !

III Troisième degré « bA »

Les degrés de l’armature,,, .
Le taux de gammes majeures développées, s’est réduit. Puis, l’indice enharmonique est double,
par les notes bC et bF.
Et, le rattrapage majeur est constant.

On voit clairement, puis les notes « bC & bF » !

Sont venues recouvrir
les notes B (Si) et E (Mi) !

IV Quatrième degré « bD »

Les degrés de l’armature,,, .
Le taux de gammes majeures développées, s’est réduit. Puis, l’indice enharmonique est doublé.

Le rôle additif des signes et leurs altéractivités, en milieu de la gamme naturelle est encore à dévoiler. Il est sûr, que la note absolument naturelle reste notre principale harmonie gammale. Aussi, elle est vouée à servir de comparaison, notamment pour son tempérament des secondes.

V Cinquième degré « bG »

Les degrés de l’armature,,, .
Poursuivons le rythme comparatif de l’évolution de chaque tempérament, pour nous apercevoir que l’on se retrouve à une croisée de ces deux tempéraments ( la quinte naturelle mineure & la quinte diagammique du tempérament des quartes ).

Encore une fois, les harmoniques relatives se sont croisées !!!

VI Sixième degré « bC »

Les degrés de l’armature,,, .
Ici, la tonique mineure devient une harmonique en quarte
( selon l’armature en cours ). Ce qui en revient à dire :

À comprendre, que le développement des quartes absolues, auxquelles ont a apposé une signature mineure. Produit une série qui lui est propre, et que son rythme mécanique poursuit une constant évolution.

VII Septième degré « bF »

Les degrés de l’armature,,, .
Pour terminer, il n’est pas désagréable de découvrir que le septième degré diagammique du tempérament des quartes de signature mineure. Soit proportionnel à deux positions qui font la clé des gammes.

  1. La note médiane naturelle...
  2. La note sensible des quartes...





























b b b b b b b





























b b b b b b b





























b b b b b b b





























b b b b b b b





























b b b b b b b





























b b b b b b b





























b b b b b b b





























b b b b b b b

bC majeur





b

C -3









b b

C -36













b b b

C -236

















b b b b

C -2356





















b b b b b

C #47

























b b b b b b

C #7

C

D

bE

F

G

A

B

C

1

2

b3

4

5

6

7

1

C

D

bE

F

G

bA

B

C

1

2

b3

4

5

b6

7

1

C

bD

bE

F

G

bA

B

C

1

b2

b3

4

5

b6

7

1

C

bD

bE

F

bG

bA

B

C

1

b2

b3

4

b5

b6

7

1

bC

bD

bE

F

bG

bA

B

bC

1

2

3

#4

5

6

#7

1

bC

bD

bE

bF

bG

bA

B

bC

1

2

3

4

5

6

#7

1

bC

bD

bE

bF

bG

bA

bB

bC

1

2

3

4

5

6

7

1

G maj





#

#F maj

























# # # # # #

D maj









# #

A maj













# # #

E maj

















# # # #

B maj





















# # # # #





























# # # # # # #

#C maj

 
L’armature contient les gammes diagammiques.
Celles qui évoluent dans un tempérament donné, ayant été classé parmi les différents degrés, et étant mis à niveau.
Au rang du degré de chronologie gammique...

 
Alors, elle développe une série de gammes.
Tout comme la gamme développe les modulations diatoniques, non pas une série de sept notes. Mais, une série de sept gammes ayant chacune sept notes. Ainsi, les gammes développées par une armature, appartiennent à la même famille..

 
À chaque rangée, l’armature définit une gamme.
Les rangées ne s’arrêtent pas au terme du septième signe, elles peuvent encore inclure d’autres signes et donc d’autres gammes aux notes diatoniques.

F maj

bB maj

bE maj

bA maj

bD maj

bG maj

bC maj

































































































































































































































# # # # # # #





























# # # # # # #





























# # # # # # #





























# # # # # # #





























# # # # # # #





























# # # # # # #





























# # # # # # #





#C -24567









#C -2467













#C -467

















#C -47





















#C +3-47





















































# # # # # # #

#C majeur

# # # # # # # # # # # # # # # # # #

#C +3-4

# # #

#C

D

E

F

G

A

B

#C

1

b2

b3

b4

b5

b6

b7

1

#C

D

E

F

#G

A

B

#C

1

b2

b3

b4

5

b6

b7

1

#C

#D

E

F

#G

A

B

#C

1

2

b3

b4

5

b6

b7

1

#C

#D

E

F

#G

#A

B

#C

1

2

b3

b4

5

6

b7

1

#C

#D

#E

F

#G

#A

B

#C

1

2

3

b4

5

6

b7

1

#C

#D

#E

F

#G

#A

#B

#C

1

2

3

b4

5

6

7

1

#C

#D

#E

#F

#G

#A

#B

#C

1

2

3

4

5

6

7

1

Suite relative au développement des armatures...

Dans l’armature évolue un tempérament donné à des signes altéractifs, ceux qui a chaque étape donnent une série finie de gammes aux notes altérées. En comprenant, qu’une armature complète contient une séquence de signes représentants une modulation gammique. En développant cette même armature à un autre degré de son original, on obtient des modulations diagammiques. Dont chaque degré va induire une modulation des gammes, celles qui viennent de l’armature originale à un autre degré de développement.


Pour finir :
L’armature développe une série de gammes extraordinaires, qui sans l’armature n’auraient pus être liées.

EXEMPLE L’armature originale Donne ceci : Donne ceci : Donne ceci : 7 gammes heptatoniques 7 degrés d’armature 49 gammes heptatoniques

Ce que représente l’exemple.

Il nous dit, que l’armature nous donne sept gammes relatives à la gamme naturelle de Do majeur. Mais ainsi, qu’elle correspond à une série de modulations diagammiques. Si dans l’exemple, l’armature est une suite de signes commençants par la note Si bémol. L’armature pourrait aussi bien commencer, par la note Mi bémol. Ce qui entraînerait automatiquement des modulations gammiques, parfois enharmoniques selon qu’elles soient à six ou cinq notes de musique.

Le développement en cours, dans le fond n’est pas différent du développement diatonique de la gamme. Autrement, l’armature génère une grande quantité de gammes. À chaque cas, une nouvelle gamme, une nouvelle modulation du degré, pour encore une nouvelle gamme.

En adaptant les armatures à des exploits diagammiques, on établirait un répertoire relatif aux tempéraments signés...