Relevé du principe des armatures. Page 2





























II # VII # III # VI # IV # V # II b VII b III b VI b IV b V b II #


Soit, la série diagammique qui développe une séquence de degrés relatifs. Selon le procédé de l’armature, étant au rythme d’un tempérament-signé donné.
Ce qui relativise certaines enharmonies, ou bien des notes musicales différentes ayant le même emplacement tonique. Et, aussi découvrir l’inégalité des tempéraments en milieu quantique.


La note signée qui n’a pas de force altéractive, se trouve au même emplacement que sa note voisine.

À ce moment harmonique de la gamme, elle a une signature qui n’appartient pas à la logique du fonctionnement rationnel du système gammique. Ici, la suite diagammique n’est plus du tout classiquement heptatonique.


Cette couleur-valeur donnée, n’est pas continuellement constante...


Cette note résout l’enharmonie précédente, sans finir le cycle enharmonique du tempérament. Car, une seconde signature ultérieure définit la reproduction d’un même phénomène enharmonique. Elle valorise ainsi, le nombre de variations portées via le tempérament. Qui, dans son ensemble, module la courbe de l’armature.


La note ici, termine la faculté enharmonique du tempérament signé. Ou, elle est le terme des variations enharmoniques qui la précède.

L’état harmonique des gammes fermé par ces variations, crée une amplitude tonale originale. Qui dessine sa propre mesure entre les dimensions gammiques, chromatisant l’espace universel des harmoniques.

Accentuation sur les tempéraments signés