DEGRÉS  ALTÉRÉS

L’altéraction est un phénomène dû à l’altération !

La force altéractive provoque un effet de balayage sur les notes musicales. Si la note garde son appellation originale, elle se voit néanmoins attribuée d’une altération pouvant cumuler les mêmes signes ( et calculer les oppositions )…

La représentation à droite, développe les mouvements déclarables de l’altéractivité des notes en milieu fermé. Il est démontré, que le nombre d’altérations est limité à un seul  espace d’octave…

L’altération évolue mécaniquement, elle compresse harmoniquement !

La surface de l’octave est incompressible, mais pas l’état harmonique. À cause des possibilités de l’onde, qui font référence à ses agglomérations. L’octave est un espace fuyant, elle offre le passage libre ; Aux tempéraments, ondes…

Elle est également le portail des transpositions, un énorme complexe doté ; Des tempéraments, ondes, transpositions…

Néanmoins, soyons élémentaires. Sachons nous limiter.

S’il fallait raconter une histoire, çà serait celle de l’altération alternative.

Il y a deux signes d’altérations, qui sont ; le dièse (#) et le bémol (b). Ou bien nous pouvons avoir aussi (#=+) et (b=-), mathématiquement utile parfois. Nous avons bien une alternance altérative, qui évolue autour du modèle naturellement diatonique à la gamme majeure, pouvant être du même nom…

Comme on peut le constater, c’est tellement simplement risible…

Les formules altéractives varient selon le rang diatonique occupé !

C’est évident, car l’espace d’octave n’a pas une figure régulière à cause du cas rythmique ou quantique.

& malgré, la ressource harmonique de l’octave. La  naturelle se dépense à répéter un rythme tétracordique. En créant des modulations diatoniques, dues aux renversements modaux.

Si le texte imagine les notions relatives aux figures, c’est qu’il est correctement sublime.

Le nombre signé des altérations, n’a pas la même valeur, selon les degrés.

Tout d’abord, écrivons la liste :

I = (5#)&(4b). II = (4#)&(4b).

III = (4#)&(5b). IV = (5#)&(4b).

V = (4#)&(4b). VI = (4#)&(4b).

VII = (4#)&(5b).

On peut remarquer, que lorsqu’il y a un demi-ton entre deux notes (C/B)&(E/F). Et aussi, selon la signature altérative, qu’elle soit # ou b. On retrouve un nombre maximum de cinq altérations identiques. Pour les dièses, Les notes DO et FA ont cinq #. Les notes MI et SI ont eux, cinq bémols au maximum. Sinon, pour les autres cas, ils ont tous un maximum de quatre signes.

C’est avec les ½ tons, qu’on résout le problème altéractif.

Prenons un ½ ton, tel SI et DO. Et, relatons les activités.

La note Si, quand elle se bémolise, a un maximum de cinq bémols. Cette valeur rajoutée, intervient à cause de la différence créée avec les tons. Alors, la note B ayant un cran dodécatonique de plus, il est naturel d’avoir un déplacement possible ajouté. L’exemple ci-contre, celui de la sixte (VI), a vu sa compression à la limite de sa septième et de sa seconde. Lui offrir la possibilité d’avoir un maximum de quatre signes, pour ses deux représentants.

Tout comme chaque ½ ton, qui se respecte. C’est dans le sens du décollement, que la signification hyper-maximum, prend son sens.

On imagine facilement, que si trois notes étés collés par ½ tons. Avec par exemple ces notes ABC. La note SI (B), aurait autant de signes en dièse et bémol. Où, VII = (5#)&(5b).

Voici arrivé la fin de ce cycle, qui nous a dévoilé les mystères dus aux forces altératives. Donnant tout son sens, à l’altéraction des notes musicales.

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