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Analyse de quelques primitives mineures et augmentées...

Ce qu’il y a eu de remarquable, lors des primitives mineures & augmentées...

Le rapport diminué relatif mineur et plus que diminué, est une tri-diminution...

Développement spécial des gammes, dans un contexte initiatique...

Rassemblement des démonstrations contenues dans les diapositives...

Voici, ce qui se passe quand les primitives rejoignent la tonique Do...

Élévation de la gamme naturelle, aux chromatismes majeurs...

Le référencement des gammes

La définition des gammes mineures

Les gammes diminuées

Jeux toniques caractéristiques

Premier petit résumé du cours

Fusion unitaire des primitives

La référence des gammes musicales

EXTRAPOLATION : La série se poursuit par la fusion au cas par cas des primitives

Pour fusionner une primitive à la tonique, il faut l’altérer, de façon à la ramener à l’emplacement tonique !

Tout simplement.

Par exemple, le degré tonal (2) à besoin de deux bémols, pour diminuer jusqu’à la tonique. Et, dix dièses pour s’augmenter à la tonique !

Tout simplement.

Maintenant, se présente la ligne chronologique des primitives enharmoniques...

La note, quand elle est enharmonique, c’est qu’elle a fusionnée avec une autre note. Et, que d’une diatonie à sept notes, on soit passé à une de six notes.

Mais, c’est surtout la suite du développement des chronologies enharmoniques. Celles, qu’on n’ose pas développer, à cause d’un préjugé irrationnel. Lorsqu’on se dit, que çà ne sert à rien, puisque l’emplacement tonique est occupé.

Les modèles diésés, ici commencés par la seconde augmentée à la tonique.

À partir de la seconde, qui a eut besoin de dix dièses. Tout en repoussant les notes ultérieures, à instantanément créée le phénomène transpositif.

Ce fait, trouve trois modulations diatoniques en fin de cycle.

En nous ramenant aux gammes fondamentales, enharmoniquement.

Le processus des modèles enharmoniques, nous à exprimé une nouvelle chronologie. Elle complète celle des primitives élémentaires, et celle des primitives toniques. La particularité enharmonique vient à point, pour déranger le cycle parfait des idées trop parfaites. C’est ce qui m’est arrivé, et grâce aux chronologies enharmoniques, j’ai remis en question le problème de la chronologie fondamentale gammique générale.

Les différents développements, ici réalisés. Nous ont apportés quelques notions dues à la version aléatoire des quantiques enharmoniques. La nouveauté de la découverte, bien qu’ayant démontré l’objet brut, laisse une grande part aux analyses. À la variété des points de vue, où commencent les sciences relatives aux éléments...

Comme je le disais, je redécouvre un nouveau sens fondamental à mon ordre donné à ma calculette gammique. Non, elle n’est pas fausse, elle affiche bien toutes les combinaisons des gammes fondamentales. Et, de bons résultats diatoniques. Mais seulement, les nominations gammiques vont changer...

À cause de ces critères, ceux qui règlent la conduite appliquée :

Les termes sont les plus courts possible.

Les altérations s’équilibrent au besoin, avec les couples primaires.

Les gammes sont toutes en Do a la septième majeure.

Les analyses auront un résultat maîtrisé, une synthèse harmonique.

Maintenant, un bref résumé de la ligne chronologique des primitives enharmoniques...

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Résumé

global.

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La lignée des chronologies relatives aux notes primaires, et naturellement primitives.

Nous ont fait découvrir leurs aptitudes à créer des liens diatoniques et transposés, voire interchronologiques.

Le contact avec les gammes enharmoniques, dont le flux à été interrompu par la force altéractive de l’altération.

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Les modèles bémolés donnent trois événements diatoniques majeurs. Et, quatre événements de transposition diatonique.

À part le modèle naturel, la séquence construit son cluster progressivement. Voir - notes grises.

Ce développement entraîne un espace d’intervalles « libres ».

Ce « trou » de notes, a de la valeur, il indique un signe de transposition.

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