On note que les développements clustériens, agissent avec les quantités de notes. Comme par exemple : Celui qui se rapporte aux tétras, ou dans un milieu heptatonique. Les clusters évoluent en étant limités, pour des raisons homogénéité. Mais aussi, pour démontrer des références, telles l’octave ou la compression des tétras dans l’octave.
Avec le document
« système T 13 d », la trame de l’évolution tétra est dessinée, les éléments relatifs aux gammes en mode tonique y sont liés. Logiquement, on voit que la trame ne délivre pas que des éléments tétras « toniques ».
Il reste des questions à poser ;
Pour être sûr, que le tramage clustérien en mode tétra, détiennent des éléments étrangers aux gammes diatoniques fondamentales. À cette heure, je n’ai pas encore réalisé cette phénoménale entreprise.
Ce qui est certain, c’est que la voie du raisonnement se soit distingué au niveau de l’information !
L’eau se trouve être un élément répandu, il a différents lits, et n’est pas toujours calme. Les océans contiennent ce liquide, en grande quantité. L’océan tétracordique est représenté par le développement clustérien. Les quatre notes démontrent une multitude de formes tétras. Sans pour autant, prouver que toutes ces formes soient développées à l’aide des gammes fondamentales. Ou inversement, rien ne dit, que les gammes fondamentales, développent l’intégralité du système clustérien relatif aux tétracordes.
HISTOGRAMME : La combinaison des types tétras, en milieu aquatique ...